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À l’ère du tout-numérique, la confiance numérique est une notion plus essentielle que jamais. Cette évolution transforme la culture et les opérations des entreprises, qui réévaluent des concepts tels que le lieu et les modalités de travail tout en s’efforçant d'optimiser l’expérience client.

Trois aspects sont importants à cet égard :

1. Cybermenaces – Défense contre les cybercriminels qui tentent de dérober ou compromettre vos informations et ressources numériques

2. Données – Protection de la valeur des données en votre possession

3. Technologie – Mise en place d’un environnement technologique résistant,

   conforme à vos objectifs métier

Lorsque les entreprises maîtrisent les principaux éléments stratégiques et opérationnels de la confiance numérique, elles bénéficient d’une valeur énorme et mesurable, et toutes les parties prenantes en tirent des avantages — clients, partenaires, investisseurs et collaborateurs.

Comment les entreprises approchent-elles la confiance numérique ? Une étude de PwC révèle que 96 % des entreprises ont l’intention de revoir leur stratégie de cybersécurité suite à la pandémie de Covid-19. 40 % d’entre elles se concentrent sur l’accélération de leur transformation digitale, tandis que la moitié prévoit d’intégrer la cybersécurité et la confidentialité à toutes ses décisions. Nous avons également observé l’émergence de la fonction de Digital Trust Officer, dont le rôle essentiel est de comprendre les aspects métier et juridiques de la confiance, tout en promouvant l’importance de l’identité, de la sécurité et de la confidentialité à l’échelle de toute l’entreprise.

Les bouleversements survenus en 2020 furent une aubaine pour les cybercriminels : un nombre record de vulnérabilités ont été signalées. Même les multinationales et les administrations publiques ont été prises pour cible à de multiples reprises. D’ici 2025, la cybercriminalité devrait coûter 10,5 mille milliards de dollars à l’économie mondiale. Comment les équipes de sécurité peuvent-elles réduire les risques de manière durable ?

On distingue quatre domaines d’action :

• Comprendre les risques – Pour que vous puissiez concentrer vos efforts et vos ressources de manière à obtenir les meilleurs résultats, vous devez identifier les risques pour les collaborateurs, les partenaires et les fournisseurs, ainsi que pour l’infrastructure et les données.

• Apprendre du passé – Un grand nombre d’anciennes vulnérabilités sont exploitées pour compromettre les systèmes et accéder aux données des entreprises. Une fois les enseignements tirés, des solutions doivent être mises en place.

• Planifier l’avenir – Une approche Zero Trust s’impose à une époque où la mobilité est reine. Face à l’essor du travail hybride qui fait disparaître le périmètre de sécurité traditionnel, l’identité devient le point de contrôle logique.

• Protéger les utilisateurs – Les collaborateurs peuvent constituer des piliers de défense de l’entreprise si elle a mis en place des programmes de sensibilisation, des mesures de protection des terminaux et des processus de réponse aux incidents adéquats.

AutoScout24 est le plus grand marché automobile européen en ligne. L’entreprise a pour objectif de simplifier les procédures d’achat et de vente d’une voiture, tout en protégeant les utilisateurs lors de leur parcours d’achat.

La confiance est au cœur des valeurs de l’entreprise. Celle-ci se définit comme un marché automobile en ligne de confiance, actif à l’échelle européenne, et cherche à proposer des produits et processus utiles qui répondent aux besoins de ses clients. La stratégie adoptée par AutoScout24 pour ses collaborateurs est axée sur la simplification des tâches quotidiennes, en réduisant autant que possible les points de friction. Les équipes produits peuvent s’appuyer sur une infrastructure de base sécurisée où les tâches récurrentes sont uniformisées, ce qui leur permet de se concentrer sur l’application en elle-même.

AutoScout24 fait appel à Okta pour la gestion des identités de ses clients et de ses collaborateurs. En ce qui concerne le CIAM, l’ajout de fonctionnalités de sécurité ou d’ergonomie était plus rapide avec une solution prête à l’emploi. Pour les collaborateurs (IAM), l’entreprise disposait déjà d’une solution de gestion des identités, mais souhaitait moins de friction. Grâce à Okta, elle peut désormais procéder facilement à l’onboarding des utilisateurs externes, p. ex. en cas de fusion et acquisition, mais aussi se préparer à un avenir sans mot de passe.